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Quelques rêves devenus réalités

3 septembre 2012

L'Apprenti Assassin -T1 :

Je viens de terminer le premier volume de "L'assassin Royal" de Robin Hobb, "L'apprenti assassin".

Je ne peux m'empêcher de faire une comparaison avec "Le Royaume de Tobin" de Lynn Flewelling et je trouve les deux oeuvres passionnantes bien que je vienne juste d'entamer la saga de Robin Hobb.

J'aime bien lire des oeuvres qui ont une durée et bien sûr des intrigues, des rebondissements, du merveilleux, des sentiments et quelques analyses psychologiques des situations ou des personnages. C'est un vrai régal.

Là où Lynn Flewelling exprimait les sentiments de son héros au travers d'un secret très lourd à porter au fil des situations menant à rétablir la vérité pour accomplir la prophétie antique pour le bien du pays, Robin Hobb exprime moins les sentiments de son personnage principal sinon sa solitude liée à sa condition, à son apprentissage et au secret qui en découle et qu'il faut maintenir, cultiver.

Fitz, FitzChevalerie, le nouveau, Thomas, le bâtard nous est raconté par ce qu'il voit, ce qu'il apprend ou ce qu'il découvre. Le lecteur est vraiment aux commandes du héros. Il apprend à tenir son non-rang, à ne pas poser de questions, à disparaître, à s'occuper des animaux, à survivre. Puis, vient le temps de l'apprentissage avec sa condition qui évolue vers plus de mystères. Initié aux arcanes des poisons, des observations, des larcins, des analyses, de la politique mais aussi de la mort à court, moyen et long terme pour une liberté soumise à l'obéissance aveugle à son roi, sa vie évolue et les premières missions apparaissent. Sa nouvelle place ne lui épargne pourtant pas les affres de sa naissance et sa vie ne tient plus qu'à un fil lorsqu'il effectue sa première vraie mission. Plus d'un ennemi croisent son chemin lors de ce baptême du feu et l'Art non maîtrisé qui influence les destinés s'affronte avec le Vif qu'exècre tant son maître mais aussi mentor, père adoptif, compagnon, médecin ou encore sa conscience et sa bonne fée.

Les 506 pages avalées, le second volet se fait déjà attendre. Mais des questions subsistent encore ...

D'où vient le Vif ? Pourquoi Burrich est-il si véhément avec le Vif ?

 Qui était sa mère ? Pourquoi Fitz ni ne voit, ni n'entend sa mère parler au père de celle-ci aux portes du château de Castelcerf ? Est-ce un esprit, un fantôme ? Son grand-père était-il dérangé ?

Qu'est-ce que Galen a pu faire à Vérité pour mériter que Chevalerie lui laboure le cerveau par l'Art ?

Pourquoi Subtil emploie-t-il avec autant de ferveur les bâtards ?

Les Anciens sont-ils dans le Désert des Pluies ?

Qui sont les marchands de Terrilville ? Pourquoi le Fou a-t-il été offert à Subtil ?

Qui est le Fou et quelle est son histoire et sa véritable fonction ?

Pourquoi les Pirates Rouges forgisent-ils les habitants des Six-Duchés ? Quel est leur but ? Est-ce El le responsable de de la forgisation ? Quelle magie permet de forgiser ? Qu'arrive-t-il aux forgisés ?

Que devient Molly ?

Que va faire Kettrichen ?

Je prends le second demain à la bibliothèque.

Vocabulaire :

 

 

 

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20 août 2012

Vocabulaire :

La prise de conscience de mes lacunes littéraires m'a amené à créer une nouvelle rubrique qui sera récurente et forcément non-exhaustive, celle du vocabulaire.

Actuellement, je dévore "L'assassin royal" de Robin Hobb comprenant 13 volumes après avoir à peine digéré "Le royaume de Tobin" de Lynn Flewelling en 6 volumes.

Ces mondes fantastiques-médiévaux ont une double particularité propre qui m'enchante : leur vocbulaire et leur genre. Le genre permet d'évoluer dans un monde médiéval mais aussi d'y méler de la fantaisie : la dureté du moyen-âge associé au divin magique, les intrigues diplomatiques et les alliances guerrières, les combats fratricides et les vengeances cruelles. Un régal pour nos attentes inassouvies de merveilleux, de toute-puissance, d'emerveillement jamais satisfait.

L'assassin royale - T1

Vocabulaire :

Valétudinaire : malade

 

19 août 2012

Fiction :

Je lis de nouveau beaucoup et force m'est de constater que mon vocabulaire s'est restreint ou pire encore, celui-ci n'a jamais beaucoup été enrichi ! En me retournant, cela me fait froid dans le dos. Mais qu'importe, je relis.

Etant fortement attiré par les fictions de tout genre, aussi bien la science-fiction, l'héroic-fantasy, l'anticipation, les romans de politique-fiction, les thriller fantastiques, chacun de ces genres ont un style propre à l'auteur(e), parfois même au roman, un rythme et bien sûr un vocabulaire adéquat.

Ce qui me plait dans la lecture de ces réalités alternatives, c'est la notion élargie de limite. Nos vies permettent de connaitre les limites propres de notre réalité. La société dans lesquelles nous évoluons nous les rappellent sans cesse au travers de règles constantes et évoluant au rythme des libertés découvertes et aussitôt  étouffées. Mais la fiction se permet de couvrir notre réalité, notre passé, notre Histoire, nos légendes urbaines ou antiques, nos rêves les plus fous, de découvrir de nouvelles limites, de les tutoyer, les cotoyer, les franchir pour mieux y revenir, les dépasser, les transgresser, les violer, les inventer ou les rêver. Elle nous oblige à regarder notre monde évoluer avec ses faibesses, à imaginer des améliorations constantes pour refaire une sorte de paradis artificiel temporaire aussi vite effacé de nos mémoires que le suivant se profile ou au contraire qu'il se love dans nos mémoires pour s'y "doudouner" comme une drogue dans laquelle on puiserait "au cas où ...".

La fiction, comme une addiction pour contrecarrer notre triste réalité, un anti-douleur à la quotidienne décadence sans valeur.

Alors, plus la fiction est longue et riche de détails, plus elle prend forme, ses personnages se colorisent et prennent vie, existent.

C'est pourquoi, je dévore avec délectation chaque série avec ses nombreux tomes qui extasient un plaisir sans limite ... juste celles de l'auteur(e) et de mon imagination.

Il m'arrive de vouloir prolonger leur monde dans un refus de voir celui-ci se déliter au profit d'un nouveau ... mais je n'ai pas le talent de ces conteurs qui m'enchantent.

Je voudrais aussi remercier ces amoureux du juste, de l'exact qui traduisent les textes initiaux et qui nous rapprochent au plus près de l'imagination de leur créateur(trice) avec un vocabulaire riche et puissant, nuancé et subtil pour que le brouillard de leur monde devienne moins opaque, que l'on puisse s'y promener, en arpenter les chemins, les yeux ouverts ou bien fermés mais surtout à loisir.

18 août 2012

Le Royaume de Tobin (2) :

Cette série de 6 tomes évoluant dans un monde d'Héroic-Fantasy décrit fidèlement le moyen-âge tel que l'on peut se le représenter mais en y ajoutant une kyrielle de détails issus de scènes de la vie courante et qu'il est rare de retrouver dans ce genre de roman. D'habitude, les auteurs préfèrent décrire des instants valorisant les personnages par des stéréotypes et des clichés sur la bravoure, la force morale ou l'héroïsme par le fil de l'histoire. Ici, Lynn Flewelling alterne les descriptions des endroits, des personnages ou encore leurs impressions face à des situations qui leur posent des dilemnes au travers d'une histoire ambigüe et complexe.

Etant un amoureux des blasons et des arts héraldiques, deux passages notés dans ces livres ont particulièrement attiré mon attention. Ils décrivent les armoiries des deux personnages principaux dans un langage qui n'est pas au plus juste de l'héraldique mais qui permet d'imaginer facilement leurs armes sans être un virtuose du blasonnement. Je me suis donc mis en tête de blasonner leurs écus mais à mesure que je relisais ces extraits, j'ai dû avouer mon incompétence à reproduire fidèlement ses explications. Et c'est avec un certain enthousiasme que j'ai repris mon initiation interrompue jadis des arts héraldiques. En me promenant sur la toile, j'ai découvert plusieurs sites qui expliquaient simplement l'art de blasonner. Plusieurs expliquaient le comment, le pourquoi mais je n'en ai trouvé qu'un seul qui permettait d'en discuter, d'échanger des informations de toutes natures, de donner des explications concises mais aussi soumises à interprétation. Je me suis donc inscrit sur ce site que je vous recommande, "Le Temps des Hérauts" (suivez le lien !) où une excellente ambiance règne et dans lequel plusieurs passionnés sont intervenus dans ma demande insolite de blasonner deux extraits de livre où l'auteure (ou bien la traduction française !) ne s'est pas attaché aux détails héraldiques.

Lorsque l'on "blasonne", on représente graphiquement les descriptions des armes d'une personne, d'une famille, d'une ville, d'un religieux, d'une corporation, etc ... Mais, il est possible également de décrire un blason déjà représenté. Dans tous les cas, l'interprétation que l'on peut faire soit de la description, soit des armes représentées, reste subjective au-delà des règles héraldiques établies puisque cet art a évolué aux cours des siècles depuis le moyen-âge.

Ainsi, je vous présente les deux extraits issus des livres décrivant les blasons des deux personnages principaux, suivis de la description graphique et transcrite de leur blason.

Je remercie les administrateur de ce merveilleux site "Le Temps des Hérauts" (suivez le lien !) prolongeant ainsi le temps des héros de notre Histoire et de nos histoires.

Je remercie tout particulièrement Dominique Biendiné qui a eut l'extrême sympathie de palier à mes lacunes en représentant ces deux blasons avec le logiciel Inkscape sous license reprise ci-dessous.

© Dominique Biendiné (CC BY-SA 3.0)
http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr

1ier extrait :

 

Le roi offre à son neveu orphelin et cadet dans l'école royale, un cadeau somptueux puisqu'il s'agit de ses armoiries.

"... Levez-vous, prince Tobin, et recevez de ma main vos nouvelles armoiries : la puissance d'Atyion conjuguée à la gloire de Skala.

Tandis que Nikidès déroulait la bannière, le roi défit le ballot puis déploya un surcot de soie matelassé. Tous deux étaient frappés aux armes du gamin.

Son écu était divisé par un pal rouge vertical qui, associé au timbre au dragon d'argent qui en couronnait le chef, proclamait son ascendance royale. A senestre figurait, en blanc sur champ noir liseré d'argent, le rouvre d'Atyion. A dextre, la flamme dorée de Sakor surmontait le dragon rouge d'Illior sur champ d'azur liseré de blanc - les couleurs de Mère."

"Le royaume de Tobin" vol. 3, "L'éveil du sang", p288, Lynn Flewelling

J'avais décrit ce blason ainsi :

Parti au pal de gueule : au premier d'azur bordé d'argent, à la flamme d'or de Sakor soutenu d'un dragon de gueule d'Illior, qui est d'Ariani, au second de sable bordé d'argent au rouvre d'argent qui est d'Atyion. Son timbre est un dragon d'argent.

Après correction, les armoiries se blasonnent ainsi :

Tiercé en pal : au 1, de sable, au chêne englandé arraché qui est d'Atyion, à la filière, le tout d'argent, au 2, de gueules, au 3, d'azur, au dragon de gueules d'Illior qui est d'Ariani, accompagné en chef d'une flamme d'or de Sakor, à la filière d'argent. Son timbre est un dragon d'argent.

 

2ième extrait :

L'auteure explique l'écu d'un chevalier adoubé devenant Lord aux bons vouloirs de sa reine.

"Lord Kirothius de La Chesnaie-Mont et de Reine Merci"

"L'écu était divisé en diagonale, de senestre à dextre, par la barre blanche symbolisant la naissance légitime. Au centre de celle-ci figurait une peau de lion qui, drapée sur un bâton, commémorait la première fois où Ki avait risqué ses jours pour défendre Tobin. Tamir le vit sourire à ce rappel de leur lointaine enfance. Le champ de gauche était vert, avec un arbre blanc pour La Chesnaie-Mont. Celui de droite était noir, avec une tour blanche, pour Reine Merci. Enfin, surmontant l'ensemble du motif, une flamme d'argent recueillie au creux d'un croissant de lune rendait un double hommage aux dieux réconciliés."

"Le royaume de Tobin" vol. 6, "La reine de l'oracle", p17, Lynn Flewelling

J'avais décrit ce blason ainsi :

L'écu est taillé : au 1) de sinople à chêne arraché d'argent, au 2) de sable à tour d'argent ouverte, ajourée et maçonnée du champ; à la barre d'argent chargée d'un bâton au naturel drapé par une peau de lion de même. Le timbre est une flamme d'argent qui est de Sakor au creux d'un croissant de même qui est d'Illior.

Après correction, les armoiries se blasonnent ainsi :

Tranché : au 1, de sable, à la tour d'argent ouverte, ajourée et maçonnée du champ, au 2, de sinople, au chêne englandé arraché d'argent, à la bande d'argent, chargée d'un bâton au naturel drapé par une peau de lion de même, brochant sur le tout. Le timbre est une flamme d'argent qui est de Sakor au creux d'un croissant de même qui est d'Illior.

Il m'a semblé nécessaire de préciser quelques détails pour les profanes aussi pour les arts héraldiques que pour son vocabulaire.

Minuscule précis non-exhaustif des arts héraldiques :

 

Représentation :

L'écu est divisé en 9 parties égales. Chaque partie se nomme un canton.

Le haut de l'écu s'appelle le chef par opposition à la pointe qui se trouve en bas.

Le côté gauche se nomme senestre et le droit, dextre. Ils sont inversés lorsque l'on regarde l'écu. En effet, le blasonnement exprime toujours la vie ou l'histoire de son porteur et donc à ce titre, c'est toujours par rapport à celui-ci que le blason est décrit, ce qui explique l'inversement des côtés.

 

Emaux :

Les émaux se divisent en trois catégories : les métaux, les couleurs et les fourrures.

Les métaux sont l'argent et l'or.

Les couleurs de base sont le sable (noir), le sinople (vert), le gueule (rouge) et l'azur (bleu). Le pourpre et l'orangé sont arrivés plus tard ainsi que le naturel et la carnation.

Les fourrures sont l'hermine et le vair. Lorsque la couleur du motif est inversée avec celle du champ, on parle alors de contre-hermine ou de contre-vair.

 

Vocabulaire :

Ajourée : Dans les arts héraldiques, une construction ou un bâtiment est ajourée lorsqu'il est pourvu de fenêtres.

Argent : Dans les arts héraldiques, l'argent est un métal correspondant au blanc.

Armes, armoiries : Au moyen-âge, représentation graphique sur un écu, une bannière, un vêtement, un parchemin ou une peinture décrivant les origines, l'histoire d'une personne, d'une ville ou d'une corporation.

Arraché : Dans les arts héraldiques, "arraché" décrit un arbre avec ses racines ou une tête sanglante.

Azur : Dans les arts héraldiques, l'azur est une couleur correspondant au bleu.

Bande : Dans les arts héraldiques, bande dont la largeur correspond à 2/5 de la largeur du blason et positionnée dans la diagonale de celui-ci, du canton dextre du chef jusqu'au canton senestre de la pointe.

Barre : Dans les arts héraldiques, bande dont la largeur correspond à 2/5 de la largeur du blason et positionnée dans la diagonale de celui-ci, du canton senestre du chef jusqu'au canton dextre de la pointe.

Blason : voir écu, armes et armoiries.

Champ : Champ correspond au fond de l'écu ou de ses parties.

Chef : Chef correspond au haut de l'écu, par opposition à la pointe, en bas de l'écu.

Dextre : Côté droit de l'écu pour son porteur.

Ecu : Bouclier au moyen-âge.

Englandé : Dans les arts héraldiques, "englandé" décrit un chêne représenté avec ses glands. On parle aussi de " chêne fruité".

Filière : Liseré au bord de l'écu.

Gueules : Dans les arts héraldiques, le gueules est une couleur correspondant au rouge.

Maçonné : Dans les arts héraldiques, une construction ou un bâtiment est maçonné lorsque les briques, les pierres ou les moellons apparaissent dans sa représentation graphique.

Naturel : Dans les arts héraldiques, "au naturel" représente la couleur habituelle de l'objet représenté sur le blason. Cette couleur est apparue tardivement dans l'histoire des arts héraldiques.

Or : Dans les arts héraldiques, l'or est l'un des deux métaux correspondant au jaune.

Ouvert : Dans les arts héraldiques, une construction ou un bâtiment est ouvert lorsque sa porte est apparente.

Pal : Dans les arts héraldiques, bande verticale dont la largeur correspond à 2/5 de la largeur du blason et positionnée au centre de celui-ci.

Parti : Dans les arts héraldiques, "parti" représente la division de la totalité de l'écu en deux parties verticales d'aires égales.

Rouvre : Chêne.

Sable : Dans les arts héraldiques, le sable est une des couleurs correspondant au noir.

Senestre : Côté gauche de l'écu pour son porteur.

Sinople : Dans les arts héraldiques, le sinople est une des couleurs correspondant au vert.

Surcot : Vêtement du moyen-âge recouvrant la cotte de maille, littéralement "sur la cotte".

Taillé : Dans les arts héraldiques, lorsque l'écu est divisé en deux parties dans sa diagonale, du canton senestre du chef jusqu'au canton dextre de la pointe, on dit qu'il est taillé.

Tiercé : Dans les arts héraldiques, trois barres d'1/3 de la largeur du blason positionnées suivant la description. Par exemple : "tiercé en pal" exprime 3 barres de même largeur positionnées verticalement, "Tiercé en fasce" exprime 3 barres de même largeur positionnées horizontalement.

Timbre : Dans les arts héraldiques, éléments extérieurs situés au-dessus du blason.

Tranché : Dans les arts héraldiques, lorsque l'écu est divisé en deux parties dans sa diagonale, du canton dextre du chef jusqu'au canton senestre de la pointe, on dit qu'il est tranché.

8 juillet 2012

Le Royaume de Tobin :

En flânant au hasard dans la bibliothèque communale, cela m'a amené à emprunter une série de livres que je dévore avec une certaine délectation.

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7 juillet 2012

Maladie Infantile :

Notre grande Doulée a attrapé la varicelle. Elle commence à avoir plein de gourmes qui lui bourgeonne sur la figure, le ventre et le dos.

Cela fait une semaine qu'elle se grattait la tête et nous pensions qu'elle avait attrapé des poux en allant à la garderie ou un dernier cadeau de l'école. J'avais bien vu quelques petits boutons dans ses cheveux mais je ne pensais pas qu'elle puisse nous déclarer une maladie infantile juste au début de ses vacances.

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6 juillet 2012

Mes Bêtes :

Voilà bientôt deux ans qu'un collègue m'a initié au jeu de plateau Warhammer.

C'est un jeu de stratégie qui représente à chaque partie une bataille entre deux armées minimum et donc entre deux joueurs minimum. Ces batailles évoluent dans un monde médiéval fantastique où la magie règne et où les démons veulent s'emparer du monde.

Il y a les forces du bien contre les forces du chaos et d'autres forces qui ont des buts plus personnels pour un total de quinze armées possibles. Elles se décomposent de la façon suivante : l'Empire, les Nains, Les Hauts-Elfes, la Bretonnie, les Hommes-Lézards, les Elfes Sylvains, les Hommes Bêtes, les Ogres, les Elfes Noirs, les Skavens, les Orques et les Gobelins, les Guerriers du Chaos, les Démons, les Comtes Vampires et les Rois des Tombes.

4 juillet 2012

Le jour de l'indépendance :

Le 4 Juillet 1776, la colonie anglaise située en Amérique du Nord, déclarait son Indépendance à sa Nation Mère, la Perfide Albion, la Grande-Bretagne.

La France ayant soufflée un vent de liberté sur l'Europe, envoya des renforts de troupes conduit par le Général La Fayette à bord de l'Hermione pour soutenir son émule.

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3 juillet 2012

Cadeau pour ma petite femme :

Ma femme se destinait à la publicité lorsqu'elle a entamé des études artistiques. Elle les a conclu en réalisant une campagne publicitaire basée sur le lancement d'un nouvel alcool. Celui-ci s'apparentait à une sorte de Saké.

Après avoir déterminé le slogan, avoir dessiné le contenant et l'avoir ornementé, elle s'est attachée au decorum. L'affiche présentait les différents atours du monde japonais. Sur un fond parcheminé à la manière des estampes, un cerisier en fleurs se distinguait en arrière-plan. Au premier plan, le flacon et deux verres ainsi que des idéogrammes en haut à gauche rappellant les valeurs des Samouraïs comme la force, le courage, le devoir, l'obéissance et l'abnégation.

Estampe  tatouage-japonais-kanji-tattoo

Le flacon avait la forme des carottes des enseignes de tabac avec des rondeurs harmonieuses, sa transparence était pour apprécier cette "eau de vie" et l'étiquette de forme ovale et de couleur ocre et dorée rappellait la marque du produit dans une écriture asiatique. Quelques idéogrammes étaient repris sur l'étiquette. 

carotte saké

Pour cette campagne aboutie, ma femme a terminé dans les trois meilleurs de sa classe.

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Son choix était dicté par sa vie et ses envies ... Ses yeux en amandes lui confèrent le calme et l'intelligence qui émanent des asiates. Ses gestes doux, son rythme mesuré et ses présences invisibles s'apparentent à ceux des Geishas. Sa profonde culture et ses manières artistiques la rendent anachroniques, comme issue de l'Empire du Soleil Levant.

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Pour la célébrer ainsi que son travail, c'est tout naturellement qu'elle a exprimé la possibilité et peut-être le besoin de se faire tatouer un branche de cerisier en fleurs : les Sakuras. Ce symbôle de vie éphémère a été cultivé pendant la seconde Guerre Mondiale par l'Empereur Hiroïto en prétendant la réincarnation des âmes des pilotes d'avion, les Kamikazes en fleur de cerisier. Il faisait déjà partie de la culture japonaise puisqu'il existe à de nombreuses reprises sur les estampes japonaises.

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Je me suis donc mis en quête d'un très beau tatouage de branche de cerisier en fleurs.

L'endoit du tatouage devrait être l'épaule gauche. La surface du tatouage est définie à la taille d'une main. La question de la couleur n'a pas encore été abordée, mais je crois que trois couleurs pourraient être envisagées. Le noir pour le tronc, les branches et les ombres. Le blanc, le rose ou le rouge pour les fleurs.

 Il me semble que c'est très raisonnable pour un premier tatouage.

Mes recherches concrétisées sur la toile rassemblent quelques photos mais ces tatouages ne représentent pas encore véritablement ce que je recherche. A mon sens, ils n'expriment pas l'harmonie qui devrait se dégager d'un tel symbôle. Si les fleurs sont trop imposantes, elles vont figurer telles des lys qui sous Louis XIV représentaient l'infamie des prisonnières.

 Source : Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Sakura et la toile

Voici quelques modèles permettant un ordre d'idée sur l'endroit du corps, sur la taille ou la couleur du tatouage.

cerisier1 cerisier12 cerisier8

   cerisier20 cerisier9 cerisier4

 

2 juillet 2012

Histoire drôle :

Quatre Italiens se rendent en vacances en Espagne. Sur la route, ils traversent un petit village et s'arrètent pour se désaltérer. Ils commandent chacun un Coca light ... pour la ligne ... pour les vacances. Et le garçon de répondre :

Ha désolé ! Je n'ai plus de light, mais je peux vous mettre 4 Zéro !

Après ce beau duel de gardien, Casillas reste le meilleur et Buffon, du haut de ses 39 printemps montre le chemin ...

casillas buffon

 

 

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